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 Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...

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Léonova Lestrange
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptySam 25 Juil - 20:36

    Enzo lui jeta ce regard interrogateur qu'il savait si bien faire. Je cherchai une réponse à amener pour expliquer mon comportement. Je ne voulais pas qu'il souffre, pour moi c'était une raison suffisante, mais Enzo comprendrait-il ? Il était si obsédé par sa sœur que je me demandai si il ne m'en voudrait pas de lui dire ce que je pense. Sa sœur passait sûrement avant moi. Je n'en doutais pas. Et je ne voulais pas perdre son amitié. Mais je ne voulais pas mentir, lui dire que tout allait bien.

    Si quelqu'un se permettait un jour de juger mon obsession envers ma mère, je n'apprécierais pas. Je l'enverrai bouler. Et cela même si c'était Enzo, du moins je le pensais. Mais mère était mon point fragile, comme Lively était le point fragile d'Enzo. Je me risquais à dire.

    Je te soutiendrai toujours Enzo. Mais je ne sais pas si... Si ta sœur a cherché à disparaître, il y a bien une raison non ? Je ne sais pas si...

    Les mots, qui me venaient aisément en pensée, n'arrivaient pas à franchir la barrière de mes lèvres. Je pense que Lively ne mérite pas qu'on la retrouve, ne te mérite pas, arrête de la rechercher et vit dans le monde réel. Voila ce que je voulais dire à Enzo. Mais je ne voulais pas le vexer.

    Je ne sais pas si c'est une bonne idée de s'obstiner à rechercher Lively. Je ne pense pas que....

    J'avais rougit en cherchant mes mots. Cela m’arrivait habituellement lorsque j'étais frustrée, et lorsque je m'emmêlais dans une explication. Le feu au visage, je fis ce que je peux pour continuer sur ma lancée. Allez Léo, maintenant tu as commencé, tu reviendras pas en arrière, Enzo voudra que tu aille jusqu'au bout de ta pensée...

    Je ne pense pas qu'elle te mérite. Je ne pense pas qu'elle mérite le mal que tu te donne pour la retrouver.

    Je détournai la tête pour ne pas voir sa réaction. Je n'aurai jamais du dire ça. Jamais. Enzo ne voudra plus m'adresser la parole, il ne me regardera plus jamais comme son amie la plus proche, et plus encore que sa confidente, la personne avec qui il partageait toutes ses pensée. Rien que d'y penser, des larmes de frustrations me virent aux yeux, et je me mordis la lèvre.
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Enzo Cloud
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptySam 25 Juil - 21:51

    Elle était sincère. Jamais elle ne lui aurait fait une telle blague .. Et pourtant, il espérait que si. Sa vie ne se résumait qu'à ça, il ne savait rien faire d'autre. Il n'avait pas d'amis proches véritables en dehors de la jeune fille, pas de parents proches, pas de buts. Qu'est-ce qu'il devrait faire d'autres, à son avis ?
    Il avait baissé les yeux comme si on l'avait disputé, comme si ses parents l'avaient disputé, comme lorsqu'il avait 4 ans. Des larmes lui montèrent aux yeux, il n'essayait même pas de le cacher. Il voulait juste qu'on le laisse tranquille.

    Je te soutiendrai toujours Enzo. Mais je ne sais pas si... Si ta sœur a cherché à disparaître, il y a bien une raison non ? Je ne sais pas si...
    Je ne sais pas si c'est une bonne idée de s'obstiner à rechercher Lively. Je ne pense pas que....
    Je ne pense pas qu'elle te mérite. Je ne pense pas qu'elle mérite le mal que tu te donne pour la retrouver.


    Elle était plus que franche.
    Il voulut se lever mais ne trouva pas la force. Les yeux fermés et les larmes qui coulaient sur ses joues. Lui aussi avait envie de dire quelque chose qu'il laissa pourtant dans un bout de son coeur pour réfléchir aux paroles qu'elle avait énoncé. Peut-être qu'elle ne voulait pas qu'on la retrouve, peut-être qu'elle ne voulait pas que les mangemorts et le ministère ne la retrouve. Mais peut-être que lui, il manquait aussi à sa soeur. Dans la tête de celle-ci, Enzo l'a oublié et ça, définitivement. Elle détestait trop ses parents pour y retourner demander des nouvelles du Cinquième Année. Elle détestait trop pour ne serait-ce que les approcher. Mais il aurait voulu qu'elle les aime un mini peu, pour qu'elle les appelle et leur demande des nouvelles de son petit frère. Ainsi, elle saurait qu'il est à sa propre recherche, il saura qu'elle compte un peu.
    Là, elle devait être avec son amoureux, dans un coin perdu de la campagne, dans une petite maison avec un ou deux enfants dans les bras. Ces mômes aux bouilles adorables qui recrachent leur quatre heure dans la gueule de celui qui leur nourrisseur. Mais c'est pour ça qu'on les aime, à cet âge !

    Elle croit que je l'ai oublié. Je suis sûr que si elle savait que je la recherche, elle me donnerait de ses nouvelles.

    Il la voyait encore entrain de faire vivre un tyranosaure rex alors que lui prêtait sa voix à un diplodocus. Il se voit encore entrain de rire aux éclats alors que celle-ci agitait le bout de plastique d'une main en poussant des cris digne d'un hamster entrain d'attaquer son repas de midi.
    Son nom fit une nouvelle fois l'objet d'une décharge électrique. Il serra des dents et essuya ses larmes qui lui roulaient sur les joues.

    C'est ma soeur. Elle mérite toute mon attention. Léo, mes parents sont des salauds. J'ai pas de cousins ni de cousines, pas de grands-parents, pas d'oncles et pas de tantes. Tout ce que j'ai, c'est une soeur, qui est quelque part là. Si je me bouge pas, je resterai seul toute ma vie.

    Il la regarda, elle qui baissait les yeux. Pas pour dire qu'il la haissait. Il la remerciait, une fois de plus, d'avoir été sincère. Ca montrait qu'elle était là, toujours à ses côtés, à le conseiller et à donner son avis même s'il était totalement contraire au sien, comme ici.
    Même si, aux premiers abords, ça l'avait blessé et ça au plus haut point, il aurait été d'autant plus mal si elle l'aurait sortit comme ça, sans qu'il ne lui tire les vers du nez.
    Voyant qu'elle baissait les yeux, il lui prit le menton d'une main et le releva vers lui. Lève les yeux, Princesse. Ravale tes larmes. Car ta Fierté restera ta plus belle arme.
    Non, mais il la força à le regarder, bien sûr en douceur. Pour lui faire comprendre qu'il ne lui en voulait pas, pour lui faire comprendre qu'il la remerciait d'avoir été sincère. Ca montrait à quel point leur relation était fantastique.

    Si quelqu'un d'autre l'avait dit, je sais pas ce que j'aurais fait. Mais comme c'est toi et que je veux que tu sois sincère, même si ça blesse, je t'en veux pas. Je vais réfléchir à ça. Je comprends ton point de vue, mais je sais même pas si je saurai m'arrêter. Tu sais, dans ma tête, j'ai que deux obsessions. Lively ... Et maintenant, toi ...

    Il n'avait pas peur. Juste que ça brise leur précédente relation, celle de la sincérité. L'amour était un tout autre chemin. Difficile, qui méritait un minimum d'équilibre. Or, ils étaient tout deux instables. Mais une fois qu'ils étaient ensemble, ils savaient se stabiliser.
    Il retira sa main qui soutenait son menton. Ses paroles devaient l'aider à relever la tête, il n'était pas obliger de la soutenir continuellement. Malgré tout, il y avait maintenant un creux entre eux, infime, qui les séparait.
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Léonova Lestrange
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 0:15

    J'écoutai toutes les paroles d'Enzo sans le regarder. Je n'avais pas besoin de le regarder pour deviner les émotions que son visage devait trahir. Il pleurait et je l'entendais. Ce n’était pas ce que je voulais.

    C'était la première fois que je voyais pleurer Enzo. Ce fut la première chose qui me frappa. Je me retins de tourner la tête pour pouvoir le regarder. J'avais honte de ce que j'avais dis. Je n'aurais pas du être honnête avec lui, j'aurais du lui mentir, je n'étais qu'une petite idiote.

    On aurait pu croire que je ne l'écoutais pas, puisque je ne le regardais pas, mais Enzo savait que j'étais tout simplement trop fière pour lui laisser voir que je pleurais. Je ne savais pas si moi même j'avais déjà pleuré devant quelqu'un d'autre que ma tante. Lorsqu'Enzo me fit signifier que contrairement à moi, il n'avait aucune famille. Je sentais que cette phrase s’adressait à moi. Sous entendu "Tu ne peux pas comprendre Léo, toi tu n’es pas comme moi". Je n'y avais jamais réfléchis. Je préférais être dans le cas qu'Enzo que dans le mien finalement. J'aurais préféré avoir des parents et les haïr. Je ne sais même pas si j'aurais aimé les mien si ils avaient vécu. Je n'y avais jamais réfléchis, pour moi la vérité s'était toujours imposée. Ma mère était devenue mon modèle, si bien que j'en oubliais qu'elle était avant tout une mangemorte, dont l'obsession pour son maître se rapprochait de la folie. Je me contentai de me taire, et de réfléchir. Il considérait peut être que j'avais de la chance, que je ne devais pas me plaindre, que je ne pouvais pas le comprendre.

    Il avait fait le choix de ne pas connaître ses parents, moi non. C'est ce que j'avais envie de lui dire, mais je me tu, préférant ne pas envenimer les choses.

    Je sentis sa main sur mon visage. Il me redressa le visage, pour planter ses yeux dans les miens. Mes yeux bleus devaient briller, mais je faisais ce que je pouvais pour empêcher les larmes de couler sur mes joues.

    Lorsqu'il s'adressa à moi, sa voix me surpris. Sa voix d'une extrême douceur, un ton que je ne lui connaissais absolument pas. Même ses yeux, encore brillants de larmes, ne trahissait que la douceur. Personne ne m'avait encore jamais encore regardé de la sorte.

    Tu sais, dans ma tête, j'ai que deux obsessions. Lively ... Et maintenant, toi ...

    Il lacha mon menton, mais à présent, je ne cherchais plus à fuir son regard, à m'échapper. Je ne savais pas comment comprendre ses paroles. Je n'étais peut être pas tout simplement habituée à que l'on me parle ainsi. Je ne savais pas quoi faire, ni comment réagir.

    J'avais moi même de l'affection pour Enzo. Une affection très puissante, sans pouvoir même la définir. Etais-ce de l'amour ? Je ne savais même pas ce que l'on ressentait dans ce cas là. J'étais aussi mature émotionnellement qu'une gamine de onze ans.

    Je pris sa main dans la mienne, avant de me rapprocher et de poser ma tête sur son épaule. Je ne savais pas quoi dire. Parfois les mots ne suffisaient pas, et dans ce cas là, il ne fallait pas essayer de les faire venir. Sinon ils étaient faux, et contribuaient à dénaturer la magie du moment.
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Enzo Cloud
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 16:54

    Son regard bleuté, rempli d'étoiles céda en quittant des yeux la jeune fille. Il observa alors les étoiles en levant la tête vers le ciel. Poudlard, même si c'était sa seule maison, était un lieu fermé. Un lieu entre quatre murs, bourré d'agitation et de personnes détestables. Même si ce lieu était magique et rempli de rêves, il pouvait, dans certaines situations, être lassant d'y vivre en permanence. La nuit était belle, de l'intérieur de la Grande Salle, on pouvait voir aussi la nuit, mais tellement faussement. La nuit n'était pas simplement sa noirceur et ses étoiles, s'était aussi l'odeur et la fraicheur d'un nouveau jour, ses millions d'oiseaux qui se taisaient et ses oiseaux nocturnes qui se réveillaient pour régner sur le monde. Le dehors aussi était rempli de surprises. Heureusement d'ailleurs, où ce petit paradis ne le serait pas. On dit toujours qu'on passe une année magnifique à Poudlard, qu'on espère vivre à fond toutes ses années là-bas. Enzo se disait qu'il espérait vivre à fond toute sa vie, sans faire de différence entre les ans qui passent. Il se disait qu'une fois qu'il aurait retrouvé Lively, il passera les moments les plus magnifiques et les plus magiques, comme il en vivait un aujourd'hui, en retrouvant une amie perdue et en parlant simplement autour d'un de leurs endroits préférés.
    Elle ne répondit rien, et il préféra. Il voulait qu'elle réfléchisse avant de se lancer dans une nouvelle aventure. Il voulait qu'elle accepte non sur un coup de tête mais en se rendant compte.

    Elle posa sa tête sur son épaule et il se détendit un peu avec cette approche. Elle effleura sa main, si douce, avant de la saisir. Ils étaient liés, et bien entendu, ils le restaient quoiqu'il arrive.
    Il afficha un sourire et tira sur un des lacets qui maintenait sa cape en place de sa main libre. Il la mit d'un mouvement sur le dos de son amie, pour la protéger du vent qui s'était à nouveau levé. Lui n'avait pas froid. Il était comme insensible au temps frais qu'il faisait aux côtés de Léonova. Sa chemise noire uniforme rappelait sa chevelure de jais tandis que ses yeux bleus se mettaient en valeur.

    - Je savais que t'avais quand même froid ! -

    Son sourire, invisible parmi les milliards d'étoiles derrière lui, s'éclipsa. La promesse qu'il avait faite en parlant avec Brad refit surface mais il n'en fit pas part à Léo. Après tout, s'était logique qu'il veillait sur elle, comme elle veillait sur lui. Il aperçut une étoile filante qui fendait le ciel et fit voeu d'avoir des merveilles dans son futur, quelque soit le chemin dans lequel il s'engagerait. Quel chemin prendrait-il ? Il ne savait pas encore. Il devait méditer sur l'avis de Léo ainsi que sur son propre avis. Assembler les deux pour que chacun soit en accord avec l'autre. Il trouverait surement le moyen de chercher sa soeur en diminuant le mérite qu'il lui attribuait sans la connaître. Pour la première fois de sa vie, il eut la crainte que sa soeur n'était pas aussi sainte que ce qu'il eut cru. Les paroles de son amie, aussi blessantes soit elles, avaient trouvé un chemin jusqu'à son cerveau d'âne. Si elles n'arrivaient pas à le faire changer d'avis, elles avaient réussi à lui faire mettre un pied dans la réalité. Le faire retourner sur Terre, lui souffler qu'il ne verrait peut-être jamais son visage, le supplier de prendre d'autres projets.

    Il respira une grande fois afin de changer ses pensées vers un autre sujet moins inquiétant et d'autant plus joyeux.
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Léonova Lestrange
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 18:58

    Je souris lorsqu’Enzo déposa sa veste sur mes épaules, en parfait gentleman. Je ris même. Cela faisait longtemps que je n’avais eu envie de rire, et je m’y laissait volontiers aller. Même si je ne savais pas ce que l’avenir me réservais, mais pour l’instant, ça me plaisait bien. Je n’avais pas besoin de réfléchir, et pour une fois, ça me convenait parfaitement. Lorsque j’étais avec Enzo, je n’avais pas besoin de penser à autre chose. Je ne parlait de ma famille que lorsqu’il s’y intéressait, et il avait le tact de ne pas le faire lorsqu’il sentait que ce n’était pas le moment. Un tact que je lui enviais. Une pensée me vient à l’esprit, et j’éprouvai le besoin de la faire partager à Enzo, un sourire illumina mon visage.

    Enzo ?

    Pas de réponse, c’était signe qu’il m’écoutait. Je commençais à bien le connaître. Un code s’était instauré entre nous, et je savais donc à présent que je pouvais continuer. J'enlevai la tête de son épaule pour pouvoir lui parler mais à regret, avant de lui lancer d'une voix amusée.

    Je crois que nous sommes les deux personnes les plus fêlées que cette école ait en ce moment.

    Je ne reposais pas tout de suite la tête sur son épaule, comme si j'attendais une réponse. J'étais en réalité perdue dans mes pensées, à la recherche d'une évidence. De quelque chose qui me semblerait être LA chose à faire. J'avais toujours eu cette peur de l'erreur, cette peur de me tromper, mais maintenant, tout était différent. Alors qu'il y a quelques secondes, je n'étais pas sure, je savais maintenant ce que j'allais faire.

    Je plantai mes yeux dans ceux d'Enzo. Je n’avais jamais remarqué à quel point il était séduisant. Ce n’était pas le genre de chose que je remarquais habituellement, et encore moins chez Enzo. Il arrivait que certaines Serpentardes soient amenées à parler de lui dans les dortoirs. La plupart du temps je n’y prêtais pas attention. Il était même arrivé de voir des filles de troisièmes années prendre leur courage à deux mains pour m’aborder et me demander si il était libre. Je m’étais contenté de leur rire au nez. Je n’avais jamais vu Enzo autrement que comme un ami avant aujourd’hui. Et bien tant pis pour ces demoiselles, elles allaient être déçues.

    Pour la première fois depuis un long moment, je n’avais pas envie de réfléchir. Ce que je m’apprêtais à faire me paraissais juste évident. Le plus délicatement possible, je posais ma main libre sur son visage avant de déposer sur ses lèvres un baiser furtif. Quelques secondes seulement, avant de reculer mon visage et de retirer ma main.

    Comment Enzo allait réagir, même moi je ne le savais pas.
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Enzo Cloud
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 20:20

    Son rire valut à lui tirer un de ses sourires resplendissant. Pour la première fois depuis longtemps, il ne l'avait plus entendu rire d'une telle manière. Alors, elle parla, prononçant son nom comme elle seule savait le faire. Il avait l'impression qu'il prenait un autre accent, une autre prononciation. Et pourtant, elle ne mettait que sa voix habituelle.

    Enzo ?

    C'était bien lui ... Il ne changea pas de position, trop bien installé et trop lui pour tourner la tête vers elle comme l'aurait fait un certain nombre de gens. C'est avec regrets qu'il sentit la tête de son amie (?) quitter le creux de son épaule. Alors, il posa son regard sur elle, en se demandant ce qu'elle avait à dire. Voyant son sourire sur ses lèvres, il savait qu'ils n'allaient pas retomber dans ses conversations si sérieuses qui les amenaient à l'âge adulte. Qu'est-ce qu'il détestait ce mot, adulte. Il aurait voulu rester toute sa vie un enfant, ou un adolescent. Bien que l'expérience d'être grand pouvait être merveilleuse et très enrichissante, il gardait en tête que la phase enfant était bien plus belle que tout autre. Rêves, peurs, franchise et sincérité. Comme on dit, la vérité sort de la bouche des enfants. Les adultes sont sérieux, malhonnêtes et mentent, même à leurs enfants.
    Il avait un sérieux exemple en tête qu'il chassa directement, ne voulant pas gâcher le reste de la soirée, qui commençait à devenir moins sérieuse.

    Je crois que nous sommes les deux personnes les plus fêlées que cette école ait en ce moment.

    Il afficha un air ravi. Ils étaient fêlés mais au moins, ils n'étaient pas comme tout le monde. Ils sortaient du lot, autant par leur caractère plutôt solitaire et mystérieux ainsi que par leurs rêves, totalement fous. Sachez que chercher une aiguille dans une botte de foin est dur, mais dans un grenier les yeux bandés avec l'aiguille qui changeait de place, s'était pas mal non plus. Quand à la jeune fille qui descendait tout droit du personnage le plus fêlé qu'il connaissait actuellement, elle avait son caractère et ses rêves délirants aussi.
    Le pire était peut-être qu'ils s'avouaient tout, jusqu'à ce qu'ils n'aient plus aucun secret l'un pour l'autre, et donc, qu'ils pouvaient lire chacun dans l'autre comme dans un livre ouvert.
    Ô oui, il était bien les pires fous actuels au Château.

    Le garçon la fixa. L'instant s'était un peu figé alors qu'elle posa d'abord sa main sur le visage du garçon. Elle s'approcha furtivement pour déposer un baiser sur ses lèvres. Il cligna des yeux, comme pour se demander s'il n'avait pas rêvé. Sans vraiment réfléchir, il agit par naturel et posa sa main sur sa joue. Doucement, il effleura la visage de la Verte et Argent avec ses doigts fins. Alors, il s'approcha à son tour pour l'embrasser avec fougue, sentant une décharge électrique - positive cette fois - passer dans tout son corps qui semblait s'embraser de l'intérieur.
    Il avait eu peur, aurait pu faire toutes allusions possibles, il n'aurait par contre, jamais fait le premier pas s'il n'y avait pas été autorisé.
    Il quitta les lèvres de sa Belle, prenant toujours conscience du contact qu'ils avaient, une de leurs mains serrée dans celle de l'autre. S'était rassurant, ce contact, sa peau douce et tiède qui réchauffait impercpectiblement tout son corps. Il ne sentait pas leur relation changée, ne sentait pas un bond en avant dans sa vie. Il se sentait juste mieux, moins seul et plus optimiste quant à son futur, à leur futur.

    - Même si ça marcherait pas entre nous, tu resteras toujours ma confidente. Je te laisserai pas tomber une deuxième fois -

    Il ne la quitta pas des yeux, pas le moins gêné. Il passa sa main libre autour de la taille de la jeune fille et l'invita à se reposer sur lui.
    Il n'avait pas douté, pas pensé qu'il aurait pu être totalement rejeté. Il était dans l'état d'esprit que s'il n'avait pas voulu, il aurait su passer le cap en se concentrant d'autant plus sur un autre but. Il n'était pas de ces gars qui se focalisaient trois fois plus sur une fille qui disait non. Il était compréhensif envers ses sentiments, pourvu qu'ils ne fassent pas de mal aux autres. Sinon tant pis.
    Là, il ne se pardonnerait pas si l'autre était Léonova. Lui faire mal était la dernière chose qu'il voulait.
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Léonova Lestrange
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 21:09

    A peine écartée, il m’attira à nouveau à lui, pour m’embrasser avec beaucoup plus de fougue que je n’en avais mis dans mon baiser. Sûrement par peur d’être rejetée. Une foule de nouveau sentiments se battaient dans ma tête. Des sentiments qui, pour la plupart, m’étaient inconnus. Je me sentais beaucoup plus légère, j’en avais oublié toutes mes préoccupations de la soirée. Tous nos sujets de conversation, que ce soit Lively, ma mère, Narcissa et Rodolphus, ou bien la petite fiole sagement rangée dans ma poche. Je n’arrivais même pas à me souvenir depuis combien de temps j’étais assise sur ce rocher avec Enzo. Enzo, mon meilleur ami, et bien plus que cela. J’aurais pus rester toute la soirée comme cela, sous réserve que l’on me laisse reprendre ma respiration. Je me sentais comme libérée d’un poids, comme si les choses s’éclairaient dans ma tête.

    Enzo recula, me laissant ainsi respirer. Parce que j’avais retenu ma respiration pendant tout le baiser. Comme si le temps s’était arrêté. Il passa un bras autour de ma taille, doucement, en prenant soin de ne pas lâcher ma main gauche, même bras sur lequel était marqué à vie la marque des ténèbres. Marque que j’avais totalement oublié, et qui était en ce moment même la dernière de mes préoccupations. Il m’attira contre lui, et je me laissai volontiers aller. Ma tête posée sur son torse, ma main gauche dans la sienne, et mon bras droit posé sur le sien qui entourait ma taille, je me contentai de fixer bêtement le lac.

    Je me demandai si c’était ce que ma mère avait ressentit quelques années plus tôt. Etre avec mon père était-il un moyen pour elle de vider complètement ses pensée, d’oublier toutes ses préoccupations. Je me réprimandai mentalement. Mes pensées ne cesseraient donc jamais de dériver vers Bellatrix Lestrange ? J’avais le sentiment que sa vie et la mienne étaient étroitement liées, et que je pouvais expliquer chaque événement de la mienne par son jumeau dans celle de ma mère. En quelque sorte, je n’avais jamais réussit à couper le cordon ombilical. Je savais que je ferai un grand pas le jour où j’accepterai le fait que ma vie était ma vie, et qu’elle pouvait quitter les sentier tracés par celle de ma mère, tout comme je savais que je n’étais pas prête à faire ce pas.

    La voix d’Enzo me sortis de mes pensées. Encore une fois, j’ignorais combien de temps s’était écoulé. J’avais l’impression d’être serrée contre lui, de sentir son odeur depuis plusieurs heures. "Nous". J’aimais bien ce mot. Cette idée me plaisait. Autrefois, lorsque je réfléchissait, je pensais Enzo et moi. Maintenant je pouvait penser "nous". Nos vies étaient étroitement liées également. D’un lien totalement différent de celui qui liait Bellatrix Lestrange à moi, bien entendu, et d’un lien que je découvrais un peu plus chaque minute passée avec lui. J’avais l’impression d’être une de ces idiote amoureuse, mais je m’en fichai, cela m’était totalement égal. Si me sentir comme ça signifiait être idiote, alors allons y. Autant être idiote à fond.

    Enzo semblait attendre une réponse de ma part. Ou alors contemplait-il le lac le château, les étoiles ou je ne sait pas croire de façon aussi idiote que moi. Je n’aurais pas su le dire. Si il attendait une réponse, il allait pouvoir attendre. Je ne savais tout simplement pas quoi dire. Il avait parlé de manière grave, de choses importantes.

    Or je n’avais pas envie d’être sérieuse. Je n’avais pas envie de penser que cela ne pouvait pas marcher. J’avais juste envie de rester là. Malheureusement le soleil avait maintenant complètement disparu, et nous serions bientôt obligés de retrouver notre salle commune, ou bien un professeur viendrai pour nous y ramener. Ce qui risquais de pas tarder à arriver. Mais je n’avais pas envie d’être la première à rompre le silence de ce moment. D’être la première à quitter ses bras. Enzo était assez responsable pour nous deux, je lui laissai le soin de prendre la décision de rentrer.
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Enzo Cloud
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 22:04

    Le paysage était magnifique. La nuit était calme et sombre malgré que la Dame des Ombres en était à sa demi-lune. Tout était calme, avec bien sûr, les battements d'aile de nombreux prédateurs nocturnes ainsi que le bruit du lac et des vaguelettes qui se formaient alors que le vent éraflait la surface de l'eau. Moment de rêve, inoubliable. Il ne s'était jamais sentit aussi bien, surtout aux côtés de Léo. Nous étions dans un moment de silence, comme ceux qui couvraient souvent nos conversations. Nous sourions ? Oui, peut-être. S'était en tout cas le comportement actuel pour le moins étrange d'Enzo qui ne se livrait pas souvent à cette activité. Il n'avait pas vraiment envie d'attrapper des rides, ce qui arriverait à coup sûr s'il plissait tout le temps son visage.

    Le contact était formidable. Oubliant tous ses problèmes, il oublia aussi Lively et ses parents. Le goût sucré qu'avait ses lèvres n'était pas désagréable, surtout quand son parfum était continuellement respiré. Respirer, chose qu'il fit trois fois en silence, les yeux fermés. Il savait qu'il allait être l'heure de rentrer. Demain était un dimanche et ils allaient avoir tout le temps pour eux. Il se laissa encore quelques minutes de répit, même s'il savait qu'il n'allait pas savoir les compter une fois le compte à rebours silencieux lancé. Il chassa l'idée de sa tête et ferma à nouveau les yeux. Pas qu'il était fatigué, loin de là, mais il aimait sentir sa main tiède dans la sienne, ainsi que son corps appuyé sur lui. Il en oubliait tout le reste, profitant de l'instant qu'il espérait voir durer longtemps. D'un autre côté, il se dit qu'il y avait encore énormément de moments comme celui-ci qui les attendait.
    Il rouvrit les yeux et se retrouva à nouveau entrain de sourire bêtement, chose qu'il corrigea sur le champ, même s'il était heureux. Elle le savait, pas besoin d'exhiber ses sentiments à tout le monde. Ainsi, il brisa magnifiquement le silence, menant ce moment à sa fin.

    - Nos lits nous appellent, Princesse ... -

    Même s'ils n'avaient pas besoin de ça pour s'endormir. Il fallait être raisonnable ... Et après tout, non. Ils n'iraient pas dormir. Ils rejoindraient la salle commune et s'endormiraient là, à deux. Pas la force de briser, pas la force de se déchirer, eux qui ne formaient à présent qu'un.
    Par contre, s'ils rencontraient un professeur, ils pouvaient dire adieu à leur soirée cheminée. C'est pourquoi il délivra la jeune fille de son étreinte, bien que comfortable, afin de l'aider à se relever. Ils avaient encore à marcher jusqu'au Château, puis à travers les sous-sols pour rejoindre leur Salle Commune et se poser dans ces énormes fauteuils en cuir noir disposés en demi-cercle autour de la cheminée. A cette heure-ci, ils devaient être inoccuppé. Et sinon, il y en aurait bientôt un d'inoccuppé.
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Léonova Lestrange
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MessageSujet: Re: Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ...   Quand Emergerais-je de Cette Longue Solitude ... - Page 2 EmptyDim 26 Juil - 23:12

    Je quittai à regret ses bras pour me relever. Galant jusqu’au bout, il m’y aida. Je lui adressai un sourire. Il était adorable, à s’interdire de sourire. Lorsqu’il se rendait compte qu’un sourire illuminai son visage, il reprenait une expression neutre, déclenchant inévitablement un rire de ma part. J’aimais bien le voir sourire, j’aimais les fossettes qui apparaissaient au creux de ses joues. Princesse, j’aimais bien ce surnom. Surtout dans la bouche d’Enzo. N’importe qui d’autre m’aurait appelé de la sorte, je n’aurais sûrement pas apprécié. Mais pour lui, c’était différent. Il aurait put m’appeler comme il le souhaitais, de toute façon j’en aurais rien eu à faire.

    Allons-y

    J’avais souris avant de me lever. Nous nous étions dirigés vers le château doucement, lui me tenant pas la taille. Je retenais mon rire lorsque nous traversâmes les sous sols du château pour nous rendre dans notre salle commune. Un groupe de première année semblait être en plein discussion autour de la cheminée, et Enzo les envoya se coucher. Je dus encore me retenir pour ne pas éclater de rire lorsqu’ils se dirigèrent chacun dans leur dortoir, un air penaud sur leurs visages.

    Enzo s’installa l’un des fauteuil en cuir noir, et l’instant d’après, je me lovai contre lui. Je regardai les flammes danser dans le cheminée. Le sommeil s’empara de moi quelques minutes plus tard. Nous n’avions pas échangé un seul mot depuis que nous étions serré l’un contre l’autre sur le fauteuil de cuir noir. Mon bras était resté sur le sien qui enserrai ma taille pendant la totalité de la nuit. Je ne sait pas combien de dans il était resté à me regarder et combien de temps il avait mis à s’endormir. Les Serpentards qui descendraient les premiers le matin risquaient de nous voir comme ça, on risquait d’en parler, mais j’en avais rien à faire. Plus rien à faire.

    => Sujet à clôturer.
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