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 Caïn Sutherland

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MessageSujet: Caïn Sutherland   Caïn Sutherland EmptyLun 10 Aoû - 0:16

Nom : Sutherland.
Prénom : Caïn
Maison : Serpentard
Année : 6ème


Physique

Encore une de ces magnifiques journées de printemps où l’on a qu’une envie, profiter du soleil. Marchant en direction de la Grande Porte, vous remarquez de part et d’autres du couloir quelques élèves avachis, tantôts debout et appuyés contre le mur, tantôt simplement assis dans l’ombre rafraîchissante des pierres. Vous continuez votre route, lorsque votre regard est irrésistiblement attiré par un éclat écarlate. Là, dans l’encadrement de la fenêtre au style gothique découpée dans la pierre, se tient un jeune homme. De profil, une jambe pendant nonchalamment dans le vide, il est comme éclairé par les nombreux rayons de soleil qui lui tombent sur le visage. Votre regard s’attarde un instant sur les ombres que forme la courbure de ses longs cils sur ses yeux clos. Ces traits, à la fois doux et fins, ce teint de peau parfait, au grain serré, ces pommettes hautes, ces lèvres délicates… Une harmonie parfaite se dégage de ce visage. Non, de ce corps dans son entier. Fugitivement, vous jetez un coup d’œil à cette morphologie fine, aux muscles, rendus visibles par la chemise blanche, légère et entrouverte que le garçon porte, sont comme ciselés avec précision. Vous détournez la tête. C’est comme regarder le soleil en face : aveuglant.

A tel point que vous aviez oublié cette chose qui vous à fait vous arrêter ici, en plein milieu du couloir, pour détailler un étudiant sur une fenêtre. De longues mèches auburn tombaient avec paresse sur le beau visage. Ondulant au rythme de ses respirations lentes. Accrochant à chaque fois ce rayon joueur. Illuminant votre monde d’un soleil écarlate.
Une couleur souvent choisie, et pourtant jamais aussi parfaite. C’était une masse mouvante de rouges éclatants, de bruns chauds et de reflets or. Leur matière, semblable à de la soie, rehaussait à merveille les éclats de ces couleurs ardentes.

- Je peux savoir ce que tu fiches là à me regarder toi ?

Stupéfait d’avoir ainsi été tiré de votre contemplation, vous restez là, à ne rien savoir dire. Le jeune homme avait parlé sans même ouvrir les yeux, sans changer aucunement son rythme respiratoire, sans rien manifester qui aurait pu vous alerter. Se redressant légèrement du mur où il était appuyé jusque là, le jeune homme vous jette un regard glacial. Malgré son expression tout à fait convaincante du *passe ton chemin manant*, vous ne pouvez vous empêcher de remarquer cette même couleur mouvante, dans ses yeux cette fois-ci. Un regard de braise, reprenant tous les stades de la lave en fusion. Du doré initial, au carmin plus ardent, en passant par les cendres sombres de ses pupilles. Absolument envoûtant.
Avisant néanmoins sa réaction : se retourner vers ses « amis » debout un peu plus loin, vous repartez sans demander votre reste. Cette bande est connue dans Poudlard. On pourrait croire à une des nombreuses cours Serpentardes, mais celle-ci en diffère par bien des points. Tout comme son « meneur ». Caïn Sutherland.

Caractère :

Absolument flegmatique, Caïn est d’un naturel détaché. Chacun de ses gestes est d’une nonchalance rare, comme si rien en ce bas monde, n’était en mesure de l’intéresser vraiment. En cours, il est souvent un exemple de paresse, accoudé sur sa table, la tête entre les mains, indolent au possible. Il lui arrive très fréquemment de s’assoupir en pleine leçon, dans la même position qu’éveillé. La seule différence est qu’alors, il garde les yeux fermés plus longtemps que pour de simples soupirs. Une fois les cours finis, Caïn n’est une fois de plus pas des plus vifs, puérils selon ses termes, qui se précipitent et se bousculent jusqu’à la porte. Il est du genre à se lever sans hâte, à se tenir debout sans être vraiment droit et à se diriger avec une indifférence rare jusqu’à la sortie. De toute façon, il se sait toujours attendu alors à quoi bon se presser n’est ce pas. Malgré ce flegme apparent dont il ne se départit que dans de rares cas, ses répliques sont souvent, très souvent acerbes, pointues et aiguisées au possible. Parfaitement représentatives de son esprit. Le jeune homme est en effet doué d’une intelligence rare, et, bien qu’il n’y ait lui-même jamais fait allusion, toute l’école le sait pertinemment. Tous le corps professoral évite de se frotter à lui –une des explications au fait qu’il puisse dormir tranquillement en cours-, se contentant de lui faire passer ses examens. Et de lui rendre ses notes. Parfaites. Caïn est ce genre d’étudiant que vous ne verrez jamais ô grand jamais réviser, ou faire ses devoirs, ou quoi que ce soit catalogué d’ennuyeux par ses soins, mais qui raflera immanquablement toutes les médailles.

A cause de ce caractère pour le moins singulier et de ce physique pour le moins agréable, le Sutherland jouit de tous les prestiges au sein de sa maison. Il s’entoure tranquillement d’amis fidèles, sans pour autant s’engager personnellement. Ils le reconnaissent et le respectent toujours, l’envient souvent, et l’admirent lorsqu’il n’est pas là pour l’entendre. Caïn préfère néanmoins rester isolé et, ses fidèles se pliant à ses désirs, lui laissent toujours une certaine distance. Jamais loin, mais suffisamment pour ne pas l’incommoder.
Voila pourquoi il n’aime pas qu’on lui tourne autour. Ces précautions que l’on prend pour s’approcher de lui le mettent souvent en rogne, ce qui fait déclanche le double d’attention de la part des autres. Un parfait cercle vicieux.
D’autant plus que Caïn repousse constamment l’idée que les gens lui tournent autour par attirance, comme ces papillons de nuit qui s’approchent de la lumière au point de se consumer vivants. Il voit cette idiotie dans les yeux des autres et cela le révulse. Oui, être seul a bien des avantages. C’est une des choses qui l’amène à se calfeutrer tranquillement dans son état léthargique, son flegme légendaire.

Il est une chose que le jeune homme apprécie sans réserves : l’art des potions. Les conceptions de filtres sont les seuls et rares instants où Caïn, absorbé dans son travail, perd sa nonchalance habituelle et révèle des gestes souples et vifs, ainsi que des talents hors du commun dans ses compositions. Le regard des autres en cet instant, il s’en contre fiche, de toute façon un fois sa potion achevée, ils auront et ils le savent de nouveau droit au Caïn plein de négligence qu’ils connaissent. Et puisqu’on en est aux matières, celles qu’il a en horreur sont toutes celles qui touchent aux sports, du quidditch –dieu merci optionnel en 6ème année- à toutes les activités manuelles comme la botanique et autres. Non pas qu’il n’ait pas le physique pour, sa musculature finement dessinée, conviendrait à merveille, mais c’était tout simplement l’envie qui lui manquait. La motivation vous savez, toutes ces sortes de choses abstraites et inutiles.
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MessageSujet: Re: Caïn Sutherland   Caïn Sutherland EmptyLun 10 Aoû - 0:17

Histoire

Né au beau milieu du mois de février, Caïn est le dernier descendant d’une famille de sang pur. Mais si il est souvent décrit des groupes maniérés, de bourgeois à la haute aristocratie, jouissant d’autant de biens qu’ils puissent en rêver dans leur monde magnifique, il est ici évoqué l’autre facette des sang purs. Loin de voir la vie tout en rose et en or, loin de se prélasser dans des costumes au nombre de pièces infini, la famille Sutherland n’est qu’une succession de sorciers, initialement du meilleur monde, finalement pauvres hères brisés par leur décadence démesurée et leur trop plein d’orgueil. Au bout de cette longue suite de générations, se trouvent Lady Félicity Mary Elizabeth Sutherland née Livingson, Sir Augustus Charles Julius Sutherland et leur fils unique : Caïn. Initialement détenteurs de nombreux manoirs prestigieux dans toute l’Angleterre, ils vivent dans une petite mansarde en plein cœur du sombre Londres. Toute leur fortune les a quitté au fur et à mesure que les années s’égrenaient. L’Empire Sutherland s’est effondré sous le poids des ans et de la cupidité stupide de ses principaux dirigeants. Pour ne laisser à ses trois descendants que quelques ruines miteuses.

En manque vital d’argent, le noble couple s’était débarrassé de son héritier une heure vingt après sa naissance. Juste le temps d’arriver à pied jusqu’à l’orphelinat le plus proche. Caïn resta neuf ans parmi les moldus, à n’être nourri que du minimum nécessaire, à vivre dans des conditions déplorables et à partager le misérable quotidien des autres enfants. A la différence que lui, savait qu’il avait des parents. Il n’était pas un orphelin lui, la gérante le lui avait dit. Et, au vu de ses facultés extraordinaires, pas un humain normal non plus. Alors, contrairement à tous ces gosses que la vie brise trop tôt mais, remplis d’espoirs, parviennent à subsister, Caïn se savait condamné. S’ils étaient des gens magiques, et qu’ils l’avaient abandonné, c’est que ses parents n’avaient pas d’autre choix. Malgré tous leurs pouvoirs, ils n’avaient pu le garder. Donc aucun risque qu’ils ne reviennent le chercher. Au contraire. Ayant grandi dans toute la banalité et la misère possible, il était sûr que ces gens ne veuillent plus entendre parler de lui. Jusqu’à nier son existence entière et simplement daigner le laisser vivre dans un orphelinat. Les pensées de Caïn à cette époque sont assez représentatives de son intelligence : innée et acérée.

Le jeune garçon allait à l’école, par le biais de bourses en tous genres qu’il décrochait sans peine au fur et à mesure de ses besoins scolaires. Anormaux, il faut le dire. Cet enfant, à ses neuf ans, achevait ses classes de collège. Il en avait sauté, des années, avant de trouver son niveau. Finalement, déclarant qu’il serait choquant et que cela lui nuirait de sauter davantage, ses professeurs et tuteurs avaient décidé de le laisser en quatrième. Caïn s’ennuyait en cours, ne se départissant jamais de son flegme. Même devant les commentaires et les menaces des « grands » ces gamins agressifs et inachevés qui cherchaient des proies faciles, le jeune garçon n’avait jamais manifesté la moindre émotion. A vrai dire, dans son esprit, ils n’avaient même pas le rang de « moucheronus vulgaris». Et bien que ce genre de bestiole agaçante soit des plus incommodante, il ne comptait pas s’abaisser à leur accorder son attention.
Il en allait de même pour chaque chose qu’il côtoyait.
Ce que personne ne savait, c’était que dans sa petite mansarde, Caïn lisait des traités et corrigeait des thèses des étudiants et professeurs d’Oxford College, portants sur tous les sujets sur lesquels il pouvait mettre la main. Pour se distraire.

Ses neufs ans passés, une femme se présenta au bureau de l’orphelinat. Une femme qui prétendait être sa mère. Et qui voulait le ramener avec elle.
Pourquoi pas.
Après tout, qu’avait il à perdre n’est ce pas. Loin de l’enfant hystérique marchant aux côtés de son géniteur idéalisé, ce qui était la réaction attendue de la part d’un orphelin qui retrouvait ses parents, la gérante vit passer avec étonnement le même petit garçon, au visage adorable mais toujours aussi indifférant que de coutume. Ou peut être encore un peu plus.
Une fois « à la maison », Caïn fut expédié sans explications jusqu’à une petite chambre en haut de la bâtisse. Pour ce que ça le changeait. Au fil des jours, il se rendit vite compte qu’il n’était là que parce que ses capacités impressionnantes avaient interpellé la gérante de l’orphelinat. Lady Félicity se trouvait être une jeune femme agréable, mais parfaitement inconséquente. Elle considéra son fils unique avec un désintérêt visible mis à part lorsqu’il était question de ses dons. Ceux, magiques, n’eurent droit à aucun regard malgré leur force marquée. Ceux qui l’intéressaient portaient sur ses connaissances. Lui faisant passer de nombreux tests, elle ne parvint, à sa grande satisfaction, à lui trouver de limite connue. Dès lors, sa mère l’instruisit sur le monde sorcier, décrivant rapidement toutes les variantes de sorts, myriades d’objets et de créatures, et s’attardant longuement sur la Bourse sorcière. Comprenant le message, Caïn joua à ce nouveau « jeu » imposé. Et gagna. Gros. Au début, il achetait de petites, minuscules actions, en faisant avec les moyens du bord, puis, par le biais de placements judicieux, il put très vite s’ouvrir les portes du Wall Street sorcier et de ses entreprises. Se créant par là, un empire financier considérable. Exactement selon la volonté de sa mère. Bien qu’elle n’y soit pas pour grand-chose, c’est elle qui bénéficiait des sommes que gagnait son fils, sous son nom à elle pour lui permettre d’y avoir encore accès si besoin était. Quelques mois plus tard, à présent parfaitement au courant des mœurs sorcières, le jeune garçon embarquait pour Poudlard, laissant sa mère seule dans son nouveau manoir. Ce qu’il avait appris, sur le tard, mais deviné, bien avant, c’est que son père était depuis bien longtemps à Azkaban pour cause d’entreprises délictueuses et de fraudes financières.
Tant pis pour lui après tout.

Les années à l’école de magie passèrent comme les années à l’école moldue. Les sautages de classe en moins. Pour une raison qu’il ne comprit jamais, Caïn avait choisi de rester dans sa tranche d’âge normale, dans des classes où les autres élèves sont comme lui, physiquement parlant. Il brillait, évidemment. Mais réfrénait ses besoins de connaissance pour pouvoir se fondre dans le lot. Certes, il y arrivait mal, voire de façon catastrophique. Mais au moins aucun professeur ne l’avait encore viré de force de son cours pour l’envoyer illico dans une classe supérieure. Donc Caïn avait encore de la marge. Les années passèrent sans trop de difficultés –dans le sens où cette dernière menace ne fut jamais appliquée, passons pour ceci sur de nombreux sous entendus du corps professoral à son égard n’est ce pas-, aucun éclat ne vint entacher sa scolarité jusqu’à sa sixième année. En serpentard accompli, Caïn exécutait ses déplacements avec la bande qui le collait depuis son arrivée, et personne ne venait jamais l’ennuyer. Comme si cette chose aurait pu avoir de l’importance à ses yeux. Enfin bref, cela n’arriva jamais. Jusqu’au jour où, se dirigeant vers leur salle commune, les verts et argents furent ahuris de voir leur Caïn s’arrêter net au beau milieu du couloir. Pantelant.
Tout son flegme volait en éclat autour de lui, ses mains tremblaient. Le jeune homme parfait, digne héritier de Serpentard de par son intelligence et son charme, venait de stopper sa marche devant un banc de thons, de protozoaires à crinière, de Gryffondors.

Avachi sur ses draps de satin verts, nonchalamment allongé entre deux oreillers, Caïn tentait de réfléchir. Si ce n’était pas ça, un coup de foudre, alors qu’est ce qui pouvait l’être ? Il avait eu l’impression que son cœur ne voulait plus redémarrer, que tout autour de lui s’était arrêté aussi, tout et tous, hormis cette personne. Absolument, infiniment parfaite. Cette personne.

Situation familiale : Figée. Son père est en prison pour un bon bout de temps, sa mère, inconséquente mais toujours là, accueille son fils pendant les vacances si il souhaite revenir.

Origines : Purement et absolument anglaises.

Situation amoureuse : Comme vous l’aurez certainement remarqué, Caïn est en état tout à fait larvaire, digne du plus beau mollusque : célibataire ayant flashé.

Loisirs : Ne rien faire.

Aime : Ne rien faire. Paresser de façon absolue lorsqu’il fait beau. Paresser de façon absolue lorsqu’il pleut. Paresser de façon absolue lorsqu’il vente. Et toutes les variantes. Caïn apprécie aussi de lire des œuvres de grand génies historiques, les mémoires de Nicolas Flamel ou, en plus moldu, de Machiavel. Plus moldu aussi mais non moi génial à son goût Hugo. Ou encore se plonger dans des traités philosophiques pour s’endormir le soir –ce qui peut en partie explique qu’il ne s’endorme pas et s’assoupisse la journée en cours tant sa lecture était intéressante à son goût- . Tellement de choses à découvrir et si peu de temps pour tout faire.

N’aime pas : Les activités physiques, les imbéciles – ce qui inclut pour lui une bonne partie des élèves de l’école pour ne citer qu’eux-. Les cours, les cours sorciers normaux, ne rentrent pas vraiment dans la catégorie du « je n’aime pas » étant donné que pour ce faire, il faudrait qu’il y prête un minimum d’attention.

Couleur préférée : Peu importe. Le spectre solaire dans son entier l’indiffère.

Animal préféré : *soupir*…Alors disons, tenez, pourquoi pas cet oiseau de feu qui passe à cet instant devant la fenêtre ? Oui, allons, lui.

Connaissance magique: 5
Puissance magique: 2
Humour: 1
Humour noir –alias cynisme-: 2
Gentillesse: 0
Méchanceté: 0


[Désolée du double post, je crois que j'ai oublié ce que signifiait "résumer" ^^" merci d'avoir lu en tous cas]
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Caïn Sutherland
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